Merci Gregory pour ce lien bien intéressant. L’idée même d’une “théorie de l’arrière plan” mériterait un billet.
La principale difficulté avec le droit à l’image, le droit à l’information, le droit de propriété sur les choses meubles ou immeubles, c’est que l’on est toujours beaucoup plus dans l’intime conviction du juge qui redéfinit à chaque fois ce qu’est la loi que dans un droit écrit et formel. La conséquence, c’est une grande insécurité juridique pour les photographes.
http://www.alienor.org/bibliotheque/droits_ethno/point2.htm
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Par Thierry Dehesdin
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