Je suis tout à fait d’accord sur le fait que l’appropriation n’est pas automatiquement légalisée par la pratique. Mon interrogation porte sur la différence en termes d’appropriabilité, s’il y en a une, entre l’image du Grand Paris que je reprends dans le billet, qui n’est pas encore de l’architecture mais une illustration de projet, et une image d’un bâtiment bien réel qui serait capturée dans l’espace public, comme dans l’exemple du reportage dans la salle de classe.
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